Bureau national [1] - Comité national [2] - Congrès national [3]
Un fonctionnement démocratique
Le SNJ, né en mars 1918, a choisi la voie de l’autonomie plutôt que l’option confédérale.
Au niveau intersyndical, le SNJ est membre fondateur de l’Union syndicale Solidaires. Une union de syndicats autonomes qui dépasse allègrement aujourd’hui la vingtaine d’organisations à l’origine du groupement.
A l’échelle internationale, le SNJ est membre fondateur de la Fédération Internationale des Journalistes (FIJ) sise à Bruxelles.
Les sections régionales ou d’entreprises sont représentées, par régions géographiques, au congrès [3].
Le congrès se tient annuellement, en octobre et généralement en province. Au delà des rapports d’activité et financier, présentés, discutés et soumis aux votes, en séance plénière, le congrès [3] travaille aussi en commissions .
Tous les deux ans, le congrès [3] renouvelle les deux instances dirigeantes du syndicat : le Comité national [2] qui en est, en quelque sorte le "parlement", et le Bureau national [1] qui assure le rôle d’exécutif.
Le Comité national [2], élu pour deux ans par les délégués réunis en congrès, est "investi des pouvoirs les plus étendus pour la gestion des intérêts du syndicat". Il compte une centaine de membres titulaires et suppléants . Dans la suite même de son élection par le congrès, le Comité [2] élit, également pour deux ans, la structure exécutive du syndicat :
Le bureau national [1] compte 30 membres et désigne en son sein cinq secrétaires généraux, dont un premier secrétaire. Il est "chargé d’exécuter les décisions du Congrès [3] et du Comité national [2], de représenter le syndicat et d’agir en son nom si nécessaire ». Le Bureau [1] se réunit chaque mois au siège.
Six mois après le congrès [3], en avril et généralement à Paris, le Bureau [1] soumet au Comité national [2] le bilan de son activité.
Le syndicat compte trois secrétaires administratives en son siège parisien.